La Cité épiscopale d'Albi, inscrite samedi au patrimoine mondial de l'Humanité par l'Unesco, est un ensemble urbain construit en terre cuite autour de la cathédrale Sainte-Cécile, qui a valu au chef-lieu du Tarn son surnom de «ville rouge».
La France compte un 34e site fiché au patrimoine mondial de l'humanité de l'Unesco. L'organisation a inscrit samedi la Cité épiscopale d'Albi sur sa liste, lors de sa 34e session annuelle, qui se tient au Brésil. Le périmètre retenu comprend notamment la cathédrale Sainte-Cécile, le palais de la Berbie, qui abrite le musée Toulouse-Lautrec, l'église Saint-Salvi et son cloître, le Pont-vieux et une partie des berges du Tarn.
En tout, cela représente près de 20 hectares de la ville et concerne quatre quartiers médiévaux: Castelviel, Castelnau, le bourg Saint-Salvi et les Combes. Présentée comme l'un des plus grands ensembles de brique cuite au monde, le joyau de la Cité épiscopale est la cathédrale Sainte-Cécile. Cette église fortifiée a été construite entre 1282 et 1480 avec pour objectif de proclamer l'autorité des évêques après la croisade menée contre l'hérésie des Albigeois (1208-1249). Modèle exceptionnel de gothique «méridional», la cathédrale est aussi réputée pour sa voûte peinte, la plus grande du monde, son porche gothique flamboyant et ses fresques des XVe-XVIe siècles, inspirées de l'art flamand et de la Renaissance italienne.
En tout, cela représente près de 20 hectares de la ville et concerne quatre quartiers médiévaux: Castelviel, Castelnau, le bourg Saint-Salvi et les Combes. Présentée comme l'un des plus grands ensembles de brique cuite au monde, le joyau de la Cité épiscopale est la cathédrale Sainte-Cécile. Cette église fortifiée a été construite entre 1282 et 1480 avec pour objectif de proclamer l'autorité des évêques après la croisade menée contre l'hérésie des Albigeois (1208-1249). Modèle exceptionnel de gothique «méridional», la cathédrale est aussi réputée pour sa voûte peinte, la plus grande du monde, son porche gothique flamboyant et ses fresques des XVe-XVIe siècles, inspirées de l'art flamand et de la Renaissance italienne.
En tout près de 900 sites figurent sur le répertoire de l'Unesco que ce soit pour des raisons environnementales ou culturelles. Ces sites sont considérés comme uniques et ayant un intérêt majeur pour la planète et la civilisation humaine.
Informations retirées du site lefigaro.fr
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