Visiteurs (depuis début juin 2007)

29.6.10

C'est la fête du cinéma


Pendant une semaine, les cinéphiles sont à l’honneur! Jusqu’au 2 juillet, c’est la Fête du cinéma. Pour l’achat d’une place de cinéma, une carte est délivrée, elle donne accès à tous les films pour 3 euros pendant une semaine.

Lancée en 1985 par le ministère de la Culture, cette manifestation est l’un des évènements cinématographiques les plus importants en France.


Action!
Depuis samedi et jusqu’à vendredi prochain, c’est la Fête du cinéma. Depuis vingt-six ans, cet évènement a accueilli 70 millions de spectateurs.
Depuis un an, ce rendez-vous est fixé à sept jours au lieu de deux. Cette nouvelle formule est un succès: l’année dernière, la manifestation a enregistré un record avec 4 600 000 entrées.


Cliquez sur l'image pour accéder au site de la Fête du Cinéma.





Le mot du jour :
« Cinéphile » est formé du mot « ciné », abréviation de « cinéma, cinématographe », auquel se rattache le suffixe « -phile » élément du grec, qui signifie « qui aime, qui a du goût pour ». Un cinéphile est donc un amateur de cinéma.


Une suggestion:

«L'Illusionniste»






Sylvain Chomet, l’auteur des « Triplettes de Belleville » revient avec un nouveau film d’animation. Le réalisateur s’est inspiré d’un scénario écrit dans les années 1960 par Jacques Tati (célèbre réalisateur français disparu en 1982).


Résumé:
Jacques Tatischeff est un grand prestidigitateur. De ses longs doigts fins, il peut extraire un lapin d’un chapeau, sortir une guirlande de son gosier, manipuler un jeu de cartes, etc. Mais voilà, après des années de gloire, ses tours n’intéressent plus les Parisiens, et le magicien décide de partir en Angleterre tenter sa chance. Là-bas, il rencontre Alice…






26.6.10

À la découverte de Montargis



Montargis est une commune française située dans le département du Loiret et la région Centre.

Montargis est située à environ 120 km au sud de Paris, à 70 km à l'est de la préfecture d'Orléans, et à 42 km au nord de Gien. La ville se situe aux confluents du Loing, du Puiseaux et du Vernisson. Traversée en outre par le canal de Briare, il est si fréquent d'y traverser un pont que, de longue date, certains en ont fait un slogan touristique: «Montargis, la Venise du Gâtinais».


Point gastronomique:


Les Praslines Mazet: amandes grillées et caramélisées selon une recette attribuée à un officier de bouche du duc de Praslin, sous Louis XIII. Cette recette a été reprise, à la fin du XIXe siècle par les établissements Mazet, propriétaires d'une confiserie à Montargis, et s'est perpétuée jusqu'à nos jours.




Monument:

Le Château de Montargis

Il reste la tour carrée dite «poterne» édifiée par Philippe Auguste, une tour d'angle qui domine la ville et des vestiges dont certains se visitent sur demande (office du tourisme): crypte du XIIe siècle de l'église Sainte Marie, les caves du jardin royal (XIIIe siècle).

Un parcours piétonnier et documenté permet aux visiteurs de se faire une idée de ce « château royal ».
Selon la tradition, Montargis, aurait pour origine une haute et puissante tour fortifiée sur la colline édifiée par le roi Clovis afin d’assurer la défense de la porte de son royaume contre les incursions qui ravageaient alors le pays. Vers 1130, Miles de Courtenay entreprend la construction d’un nouveau château à proximité immédiate de la vieille tour. L’église Sainte-Marie est construite par Miles et, au XIIe siècle, constituait l’église paroissiale de Montargis.
En 1184, Philippe Auguste réunit Montargis à la couronne condition au mariage de son cousin Pierre II de Courtenay avec Agnès de Nevers. Cette unification à la couronne concernait le château, ses terres et le fief de Courtenay. Le mariage eut lieu en l'église du château devant le Roi et la Cour. Pierre II de Courtenay accompagna Philippe-Auguste en Croisade en 1190. Le roi, qui réside au château à plusieurs reprises, fait élever un donjon.
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À partir de 1370, Charles V, «second fondateur de Montargis», entreprend des travaux d’extension et de rénovation. Il charge Raymond du Temple, le célèbre architecte du Louvre et des châteaux de Vincennes et de Sully, de la réalisation dont les pièces maîtresses sont la « grande salle des armes » et une nouvelle chapelle intégrée dans le logis royal. Les travaux se terminent en 1380 par la pose d’une horloge, une des premières de France. Simultanément est entreprise la réalisation d’une deuxième enceinte autour de la ville.
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Pendant la minorité de Louis XIII, Marie de Médicis rachète aux héritiers d'Anne d'Este la seigneurie de Montargis qui, en 1612, devient l’apanage du duc d’Orléans et qui demeure dans cette maison jusqu’à la Révolution. À la fin de l’Ancien Régime, le château subsistait encore presque en son entier, à l’exception du donjon et de l'église Sainte-Marie que Philippe de France, châtelain de Montargis et duc d'Orléans, frère de Louis XIV, avait fait raser (1697).
En 1804 est commencée la démolition qui se termine en 1827 avec la destruction de la tour de l’Horloge.
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Grâce aux plans et dessins de Jacques 1er Androuet Du Cerceau, aux sources du XVIIIe siècle et aux estampes du début du XIXe siècle, une restitution est possible. Le château était situé sur le rebord du plateau dominant la vallée du Loing, à l’ouest de la ville. Il s’inscrivait dans un polygone irrégulier ceint, d’une muraille munie de tours et d’un fossé. Au nord s’élevait le donjon de Philippe Auguste. À proximité se trouvait l’église Sainte-Marie. Le château avait trois accès: au sud-est, la «poterne» qui ouvrait vers la ville, à l’ouest, un accès desservant la cour d’Orléans devant le logis royal; le «guichet» sous la tour de Clovis au nord.








On part en vacances... par ici?



Puisque les vacances scolaires sont là....


Puisque je suis loin d'être en vacances...


Puisque c'est ici que je m'évade un peu...


... cet été, je vais essayer de présenter quelques coins de France dont on ne parle pas forcément assez souvent.
Je les sélectionnerai par la curiosité et par l'attrait qu'ils pourront provoquer...







21.6.10

Fête de la musique



Aujourd'hui, 21 juin, c'est lieu la 29ème édition de la Fête de la Musique. Pour l'occasion, la musique se décline "au féminin" et de nombreux artistes prennent part à l'évènement.


Evènement mondial, la Fête de la musique a une résonance particulière en France, son pays d'origine. De nombreuses villes de l'Hexagone participent à l'évènement qui vibre cette année aux sons et rythmes de la "musique au féminin", le thème de cette 29ème édition.
L'affiche nationale a été réalisée par Sylvia Tournerie.

En 2009, la fête de la musique a été célébrée dans plus de 110 pays et 430 villes. De nombreuses métropoles comme Stockholm, Londres, Canberra, Athènes, Le Caire, Cotonou, Caracas, New York ou encore Shanghai, qui accueillera un concert exceptionnel de M, participent cette année encore à l'évènement.





11.6.10

Un jour...





Je serai...



J'aurai...



Je saurai...


À vous de continuer...


9.6.10

Partout où la France est la plus belle



Voici une publicité simple et efficace.

Et on a déjà envie de vacances...




Petit plus, en classe:

- Préparez une recherche sur le site «pierreetvacances», pour découvrir de quoi il s'agit;
- Faites situer les différentes villes françaises énoncées dans cette publicité;
- Proposez aux élèves de créer une affiche publicitaire sur chaque ville et ses atouts touristiques...




6.6.10

Il y a 66 ans...


Début juin 1944, la BBC avertit la Résistance française que le débarquement allié est imminent grâce à ce message codé : "Les sanglots longs des violons de l'automne" (Verlaine - Chanson d'Automne).


Le 5 juin, elle annonce l'opération elle-même par la suite de la première stance :"Blessent mon coeur d'une langueur monotone" et donne ainsi le signal à la Résistance de désorganiser immédiatement les voies de communication et les arrières de l'ennemi.


5 juin 1944

Opération «Neptune» - Début (22 h 00).

Formation des cinq forces d'assaut au départ de l'Angleterre en convois (6 939 navires) et traversée de la Manche pour 130 000 hommes dans les couloirs déminés. Composition: 1 division d'assaut par plage et 2 forces de renfort dites de "suite immédiate" par secteur (U et O pour les Américains, G, J et S pour les Britanniques et les Canadiens).


6 juin 1944

Opération de débarquement - Préparation aérienne (0 h 05): bombardement des batteries côtières entre le Havre et Cherbourg. Intervention des divisions aéroportées: 82e et 101e américaines: 15 500 hommes, 1 682 avions et 512 planeurs


Objectifs:

- assurer une tête de pont sur la rive Ouest du Merderet,

- Prendre Sainte-Mère-Eglise, Beuzeville, Pont-l'Abbé,

- Neutraliser l'espace compris entre l'Orne et la Dives,

- S'emparer de la batterie de Merville et des ponts désignés.

- 0 h 10: Parachutage des éclaireurs.

- 0 h 20 à 0 h 40 : Opérations "commandos" par les planeurs de la 6e Division aéroportée sur les ponts, dont celui de "Pegasus Bridge", sur l'Orne et sur la batterie de Merville.

- 1 h à 2 h 30: Parachutages par vagues successives des régiments et brigades constituant les divisions américaines et anglaises.

- 3 h 20: Arrivée du matériel lourd et des renforts par planeurs.

- 4 h 30: Prise de Sainte-Mère-Eglise par la 82e Division américaine (505e régiment).


Bombardement naval - 5 h 50: Début du "tir d'arrosage" des positions allemandes jusqu'à l'approche des péniches et bateaux de débarquement.

Bombardement aérien - 6 h 00: Passages des bombardiers lourds et moyens sur les fortifications de la côte normande (1 333 bombardiers - 5 316 tonnes de bombes). Arrêt des bombardements 5 minutes avant l'heure H.


Débarquement des troupes - 6 h 30: "Heure H" pour les Américains (Utah et Omaha).

- 7 h 10: Attaque par le 2e Bataillon de Rangers de la Pointe du Hoc.

- 7 h 30: "Heure H" pour les Britanniques (Gold et Sword).

- 8 h 00: "Heure H" pour les Canadiens (Juno). Déferlement par vagues successives des unités d'assaut, de déminage, d'artillerie, etc...