Visiteurs (depuis début juin 2007)

30.8.09

C'est le temps du retour...



J'espère qu'il y a eu beaucoup de voyages, de bons souvenirs et surtout que c'est la pleine forme pour une nouvelle année de travail...




Bon retour de vacances!




29.8.09

Vézelay





Vézelay est une commune française, située dans le département de l'Yonne et la région Bourgogne: à 15 km d'Avallon et 45 km d'Auxerre. La petite ville est un chef-lieu de canton de l'arrondissement d'Avallon.


La ville est située sur une haute colline. Celle-ci a valu à Vézelay en 1793 l'appellation de Vézelay-la-Montagne. La raison en est simple: seul le côté ouest est facilement accessible, les versants sud, nord et est étant plus abrupts. La rue principale suit la ligne de crête de cette colline et permet de rejoindre l'église abbatiale située sur le point culminant.


Cet été, la basilique Sainte-Madeleine fête sa 30e année d'inscription au Patrimoine mondial de l'Unesco.








22.8.09

La Mure





La Mure est une petite ville située au cœur des Alpes, au sud du département de l'Isère,à près de 900 m d'altitude sur le Plateau Matheysin. Ce territoire aux multiples facettes propose: les plaisirs des lacs, de la montagne, de la gastronomie, les services utiles à la vie de tous les jours et la proximité des grandes villes de Grenoble et de Gap.
La qualité de vie exceptionnelle dont bénéficient les habitants se partage volontiers avec les vacanciers le temps d'une excursion ou d'un séjour.

Le nom de La Mure...

Les dernières études montrent que l'étymologie de « Mure » viendrait de la racine pré-celtique « Mor, Mur » signifiant « morceau de pierre » ou « butte rocheuse ». C'est aussi le nom de la colline rocheuse sur laquelle était bâti le premier château delphinal. Il est dit en effet dans l'Inventaire des Biens du Dauphin (1339) que le château était construit « sur la colline qui a donné son nom à la ville ». L'explication du nom de la ville est donc très ancienne... et n'a rien à voir avec une quelconque maturité!... Ni avec le délicieux fruit des bois!


Spécialités locales ou recettes plus traditionnelles
Voici les principales spécialités locales:
La tourte muroise : viandes maigres de porc et veau marinées avec des herbes, des olives, des champignons sauvages, cuites dans une tourte de pâte brisée ou feuilletée.
Le Murçon : saucisson à cuire aromatisé au Carvi (fenouil sauvage)
Les Ravioles : gros raviolis garnis de purée de pommes de terre avec de l'oignon ou des épinards, cuits à l'eau ou gratinés au four.
La Chèvre : c'est un plat qui se mange à l'automne. La viande de chèvre est cuite à l'eau avec du choux et des pommes de terre.


Le Petit Train de La Mure,...
... c'est le charme du temps retrouvé. Embarquez à bord de wagons des années 1930 pour un voyage magnifique, fait de découvertes et d’émerveillement. Entre le massif du Vercors et les eaux turquoise du lac de Monteynard, les gorges succèdent aux vallées, les viaducs aux tunnels, et chaque paysage nouveau est un nouveau tableau. Le Petit Train de La Mure a été surnommé “la plus belle ligne des Alpes”.





16.8.09

Guédelon








Ils ont retrouvé un site sauvage, une ancienne carrière boisée, un paysage de l'An Mil. Avec cette pierre et ce bois, ils bâtissent un château fort dans le respect des techniques du 13ème siècle.





Au coeur de la Puisaye, dans l'Yonne en Bourgogne, une cinquantaine d'oeuvriers relèvent un défi hors norme: construire aujourd'hui un château fort selon les techniques et avec les matériaux utilisés au Moyen Âge.

Au milieu d'un espace naturel mettant à disposition toutes les matières premières nécessaires à la construction: pierre, bois, terre, sable, argile... des carriers, tailleurs de pierre, maçons, bûcherons, charpentiers, forgeron, tuiliers, charretiers, vannier, cordier... bâtissent jour après jour un véritable château fort sous les yeux de milliers de visiteurs.

Ce chantier, débuté en 1997, devrait durer environ 25 ans.

L'intérêt majeur d'une telle aventure réside dans l'observation des différentes phases de travaux. Chaque étape de construction est unique et constitue un événement en soi.

Quel que soit le créneau de réflexion retenu pour aborder ce chantier, Guédelon répond à bien des attentes de l'homme du XXIème siècle.

Guédelon est un chantier scientifique, historique, pédagogique, touristique et humain.

Guédelon, c'est d'abord un voyage dans le temps !

Une fois franchies les portes de la grange d'accueil, les visiteurs sont plongés au cœur d'une autre époque. Pas de bruits mécaniques, pas d'engins à moteur, mais un espace naturel qui éveille les sens. La découverte du chantier se fait aux bruits des outils sur la pierre, du sciage des bois, des sabots des chevaux, du marteau sur l'enclume...
Une véritable immersion dans le XIIIè siècle.
Contrairement à la plupart des chantiers de construction, Guédelon est ouvert au public. C'est l'une des vocations premières du chantier: montrer et expliquer à un public le plus large possible des savoir-faire ancestraux.
L'extraction et la taille de la pierre, l'assemblage d'un mur, le travail du bois, les transports avec l'aide des chevaux... sont autant de techniques et de gestes que les visiteurs peuvent découvrir ou redécouvrir en visitant Guédelon. L'observation, mais aussi les échanges avec les oeuvriers du chantier facilitent la compréhension.

Dans le cadre de visites spécialement conçues pour les enfants, Guédelon accueille près de 60 000 scolaires par saison.








14.8.09

Montbéliard





Montbéliard (en franc-comtois: Monbyai ) est une commune française, située dans le département du Doubs et la région Franche-Comté. Les habitants de Montbéliard sont appelés officiellement les Montbéliardais, mais ont le surnom de "Trissus" suite aux dérangements gastriques causés par la consommation, aux siècles derniers, de vin aigrelet fabriqué à partir des vignes poussant sur les collines du pays. Un ancien nom germanique de Montbéliard fut Mömpelgard.


Montbéliard est classée ville d'art et d'histoire.

Le château des ducs de Wurtemberg: déjà présent au Xe siècle, alors simple place forte, il fut transformé et agrandi au fil des siècles (Tour Henriette en 1424, Tour Frédéric en 1572 et 1595, logis des gentilshommes au début du XVIIe siècle). Il abrite aujourd’hui un musée et le conservatoire de musique.

Le musée du Château et le musée Beurnier-Rossel présentent les aspects les plus intéressants de l'histoire de l'art propre au comté de Montbéliard.


Le temple Saint-Martin: construit par l’architecte Schickhardt en 1601. Il est achevé en 1608 sur la demande du prince Frédéric. Il est aujourd'hui le plus ancien édifice français affecté au culte de la réforme luthérienne. Tout à l'extérieur du temple Saint-Martin évoque la Renaissance italienne.


Le temple Saint-Georges, construit à partir de 1674, sous les ordres du prince Georges II de Wurtemberg pour pallier l'afflux de fidèles.


L'église Saint-Maimboeuf: construite entre 1850 et 1875, elle affirma le retour du catholicisme sur cette terre protestante.

La Pierre à poissons: monument médiéval qui servait d’étal pour le poisson les jours de marché.

Le Près-La-Rose: grand parc arboré de 10 hectares et fleuri (+ de 100 variétés) où l'on peut se promener et flâner sur les bords de l'Allan ou se perdre dans le labyrinthe végétal. On peut aussi y pratiquer le sport, avec un skate park et un mur d'escalade. Pavillon des Sciences (Centre de culture scientifique, technique et industrielle), exposition et parc de jeux pour petits.

L'Axone Montbéliard, salle de spectacle pouvant acceuillir plus de 5 800 personnes.

Port de plaisance au port du Canal du Rhône au Rhin, avec capitainerie, location de bateaux et 30 emplacements.




Montbéliard a donné son nom à la saucisse de Montbéliard, souvent servie dans les potées ou avec un accompagnement de lentilles. Cette saucisse fumée pendant dix heures dans un Tuyé prend son essor au XIXe siècle (compagnons du Boitchu). On trouve des traces de son existence en 58 Av. J.-C. et aujourd'hui elle bénéficie de l'IGP (Indication Géographique Protégée).










12.8.09

Yèvre-Le-Châtel


Le charme d'un village chargé d'histoire, classé parmi les plus beaux villages de France...





Situé sur un éperon, à la limite des anciens évêchés d'Orléans et de Sens, dont l'Essonne et la Rimarde marquaient la frontière, Yèvre-le-Châtel fut très tôt fortifié.

À 90 Km de Paris et 45 Km d'Orléans, Yèvre-le Châtel, avec ses remparts, son château aux quatre grosses tours saillantes, sa poterne qui donne accès à la basse-cour, et les églises Saint-Gault et Saint-Lubin, constitue l'un des sites les plus remarquables de la région. Ce petit village, aux belles maisons construites avec le calcaire du pays, est, dès le début de la saison estivale, un lieu de promenade très prisé.
Le charme de Yèvre-le-Châtel tient à sa simplicité et à son authenticité.






Grippe A




(cliquez dessus pour
l'augmenter)



Ce qui rend le virus de la grippe A H1N1 différent des autres virus de la grippe est que les complications comme la pneumonie, peuvent se produire plus souvent. Il s’agit d’une nouvelle souche de grippe, et nul n’est à l’abri d’une infection.
Une des plus grandes préoccupations est tout simplement que beaucoup de personnes pourraient tomber malades en même temps. Les responsables de la santé des gouvernements mondiaux font tout ce qu’ils peuvent pour s’assurer que leur pays est préparé.


Sur ce sujet, voici deux spots publicitaires suisses, simples et très réussis.











11.8.09

Les Baux de Provence - histoire






Au cœur du Parc naturel régional des Alpilles


Les Baux de Provence est unique, par l'essence même qui fait le charme et le parfum si particuliers des villages provençaux: les petites places, les terrasses ombragées, les rues étroites et leurs boutiques.

La situation du plateau des Baux, naturellement perchée et retranchée, a toujours assuré aux populations qui ont habité le lieu, le double avantage de pouvoir observer les environs et de se protéger, ce qui explique sans doute la précocité et surtout la continuité de l'occupation humaine du site depuis la préhistoire jusqu'à nos jours.

Les premiers textes connus du Xe siècle font état du "Balcium Castrum". Ils mentionnent le nom du seigneur du lieu Pons le Jeune dont les descendants adoptent le nom des Baux pour patronyme. Cette fortification a été remplacée au XIIIe siècle, lors de la grande campagne de travaux des seigneurs Hugues et Barral des Baux, par le donjon qui profite de la configuration naturelle du rocher et qui sert d'appui aux autres bâtiments du château.

La lignée des Baux est, au Moyen-âge, une des grandes familles provençales, importante par ses possessions qui à l'origine sont principalement concentrées sur Arles et sur Marignane, et qui se sont au fil des générations étendues dans toute la Provence, dans le Comtat Venaissin, dans le Dauphiné et en terre italienne.

Louis III, roi de Sicile et comte de Provence se saisit à la mort d'Alix, dernière princesse des Baux, du château médiéval si souvent utilisé contre l'autorité de ses prédécesseurs et le rattache à la couronne comtale. La ville et les terres baussenques entrent ensuite dans le domaine royal lorsque la Provence est rattachée à la couronne de France sous Louis XI. Le roi de France se méfie d'une forteresse à la fois si puissante et si loin de sa cour. De peur qu'elle ne tombe dans les mains de quelques ennemis et notamment des opposants à son autorité en Provence, il ordonne alors son démantèlement en 1483.



Cependant, en raison de son ancienne puissance et de son passé glorieux, la terre des Baux fut intégrée parmi "les Terres Adjacentes" au royaume de France n'ayant d'autre seigneur que le roi, ne dépendant nullement du Comté de Provence et ayant conservé toutes ses coutumes, franchises et prérogatives.

À la Renaissance, période faste pour la Cité, les bâtiments résidentiels du château sont en partie reconstruits. Mais en 1631, la forteresse est de nouveau aux mains des insurgés, la décision royale d'aliéner le Parlement de Provence, l'année précédente, a provoqué à Aix en Provence, une révolte arrêtée par le prince de Condé. Certains rebelles s'enfuient et se réfugient aux Baux. La ville est assiégée par les troupes de Richelieu. À la suite de ces combats, la forteresse est de nouveau démantelée.

La seigneurie des Baux est donnée, en 1642 par Louis XIII, à Hercule Grimaldi pour le remercier de sa politique favorable à la couronne de France. Celui-ci transmettra à ses descendants le titre de Marquis des Baux dont le Prince Albert de Monaco est l'actuel détenteur.

Après la révolution, le marquisat est rattaché à la France. Le village des Baux est peu à peu abandonné et ne compte plus que 400 habitants à la fin du XIXe siècle. Il y en avait 3000 au XIIIe siècle. Mais les Baux ont à nouveau rendez-vous avec l'Histoire. En 1821, un géologue découvre une roche rouge riche en alumine qu'il nomme bauxite.

C'est après la seconde guerre mondiale que le village entame sa vocation touristique et culturelle, avec l'arrivée de Raymond Thuillier qui contribue à la renommée internationale des Baux en ouvrant le célèbre "Oustau de Baumanière", ambassade gastronomique où se succèdent les grands de ce monde.

En 1966, André Malraux inscrit par décret l'ensemble de la commune sous la protection du Ministère de la Culture et de l'Environnement. De nouveau s'engage pour la cité une période de renaissance et de réhabilitation qui lui vaudra, en 1998, son classement parmi "Les Plus Beaux Villages de France".


information retirée du site: lesbauxdeprovence.com








8.8.09

Closerie Falbala






La Closerie Falbala de la Fondation Dubuffet est la plus grande surface artistique d'Europe (1 610 m²). Au centre de cet espace clos se dresse la villa Falbala, "chambre d'exercice philosophique" construite par Jean Dubuffet où l'artiste aimait méditer.




À 27 kms de Paris, à l'est de Brie-Comte-Robert se trouve la Closerie Falbala, sur la commune de Périgny sur Yerres. Conçu par Jean Dubuffet, c'est un grand espace, clos de murs au centre duquel se dresse la Villa Falbala, sans fenêtre et abritant le «cabinet logologique» de l'artiste. On retrouve dans cette grotte-maison tout le talent de l'artiste et sa capacité à utiliser des matériaux comme le polyester, le polyuréthane, l'époxy; elle est pensée comme une «Chambre d'exercice philosophique destinée à familiariser avec le caractère illusoire de ce qui est tenu habituellement pour réalité»...


Imaginée en 1971, commencée en 1973, la closerie, s'inscrit dans le cycle des travaux de L'Hourloupe commencé en 1962, et s'est constituée au fil des ans jusqu'en 1985, avec des oeuvres glanées dans la collection personnelle de l'artiste et dans ses archives personnelles. Ainsi y retrouve-t-on les maquettes d'architecture de monuments pour des collectivités, des institutions publiques, des sculptures, des peintures, des dessins...
Tout l'esprit Dubuffet est là, à travers les quelques milles oeuvres présentées.