Femmes... soeurs de soleil...

Christophe Mali sans Manu, Guizmo et Daniel, ses complices de Tryo? C’est possible et c’est plutôt une bonne surprise...
Chanteur et auteur-compositeur de Tryo, Christophe Mali c’est aussi une personnalité originale, tendre et poétique, qui a fait ses premières armes au théâtre. Après avoir enchaîné des rôles dans diverses créations dont Raskolnikov dans «Crime et Châtiment» de Dostoïevski et «le Chant du Cygne» de Tchekhov, il rejoint la troupe du théâtre Firmin Gémier d’Antony.
Parallèlement, Christophe Mali poursuit des études de piano et co-écrit plusieurs comédies musicales dans lesquelles il est acteur, musicien et metteur en scène. Il rejoint la compagnie Zarina Khan tout d’abord comme participant aux ateliers d’écriture et de jeux avant d’en devenir un acteur. Il joue à la Cartoucherie de Vincennes, puis tourne dans toute la France, en Allemagne, en Grèce…
Puis, il forme le groupe TRYO dont il sera l’un des chanteurs auteurs compositeurs. Depuis cette rencontre, il y a une dizaine d'années, le groupe a sillonné les routes de France et de Navarre, publié 3 albums, un «live» et des DVD musicaux – dont «reggae à coup d’cirque» qu’il co-met en scène avec Maïa Rubinstein…

Depuis 2002, Christophe Mali a composé des chansons pour Olivia Ruiz, Jean Guidoni…, mis en scène les spectacles du groupe - Face à la mer - et de Gérald Genty.

Son 1e album solo Je vous emmène est sorti le 20 mars 2006 chez Saint George (Sony-BMG).

Mon coup de coeur...

«Soeurs de Soleil» est une chanson dédiée aux femmes, aux «soeurs de soleil, filles du désert...» . Question de cultures... de volontés... de choix... de droits...

Le clip de cette chanson se trouve sur mon vidéo-blog. Allez le visionner et écoutez la chanson... Ça en vaut la peine...

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«Femme du désert» - Carmen Manno

Carte postale

Je reprends doucement le travail...

Et je continue non seulement «chez moi», sur ce blog, mais je maintiens aussi mon petit coin BD, mon vidéo-blog, spécial chansons françaises / francophones, et mon slidespace.

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Très bientôt, je présenterai mon coin ciné...

La France, championne du monde de tourisme

Avec 79 millions de touristes en 2006, la France est la première destination mondiale devant l'Espagne, les États-Unis, la Chine et l'Italie.

Paris, Provence-Alpes-Côte d'Azur et Rhône-Alpes sont les trois régions qui engrangent le plus de recettes. Les entreprises du tourisme en France, c'est 27 713 hôtels, 12 150 autres hébergements, 108 340 restaurants, 43 909 cafés et 4 317 agences de voyages.

Chaque année, offices de tourisme, comités régionaux, voyagistes redoublent d'imagination pour attirer les visiteurs sur les terres et territoires de France.

La destination France est en pleine forme. Championne du monde, elle accumule tous les records: le Louvre, premier musée du monde; la Tour Eiffel, monument le plus visité, Disney, première destination européenne... À elle seule, la région Nice-Côte d'Azur réalise 1% du chiffre d'affaires mondial du tourisme!

De 1997 à 2006, le nombre de visiteurs étrangers est passé de 67,3 millions à 79 millions. Une aubaine. Car le tourisme touche à la fois le transport, l'hôtellerie, la restauration, la culture et le patrimoine, le développement durable et, maintenant, les nouvelles technologies... L'industrie touristique représente 2 millions d'emplois.

Qu'a la France de plus que les autres?

La richesse culturelle, le patrimoine, la qualité de la nourriture, la variété de l'offre touristique et les transports. «Qui peut se vanter d'avoir 2 mers, 3 océans, 22 régions aux cultures si identifiables, et les plus grands massifs d'Europe?» s'enthousiasme Thierry Baudier, directeur de la Maison de la France, qui organise la promotion de la destination France (y compris l'outre-mer) dans le monde. Située au carrefour des grandes routes européennes, la France est la plaque tournante des migrations touristiques entre le nord et le sud du continent.

Et cette année?

Il est encore trop tôt pour faire le point... Si la France continue bien sûr à être une destination de vacances très recherchée, on ne s'y laisse pas pour autant endormir. D'autres moyens stratégiques sont mis en place pour attirer l'attention sur la France, en créant notamment l'événement pour faire connaître la marque «France».

C'est ainsi, par exemple, qu'à travers certains films, la France est mise en valeur et ne se fait pas oublier: Du Da Vinci Code, où une grande partie de l'action se déroule en France, en passant par Marie-Antoinette de Sofia Coppola, utilisé pour faire la publicité de Versailles, jusqu'au long-métrage comique de l'été dernier, Les Vacances de Mr Bean, qui raconte les tribulations d'un touriste britannique en France, puis le film d'animation de cet été, Ratatouille, qui met en relief les atouts de la gastronomie française... En voilà de la bonne promotion!

(Informations retirées du dossier de la revue Ça m'intéresse, nº318, août 2007)

Ratatouille... au bon goût du french!

Un petit rat qui aime la bonne cuisine... à la française, bien sûr!

Le film «Ratatouille» sort maintenant au Portugal. J'ai hâte d'aller le voir et j'espère que beaucoup d'enseignant(e)s de FLE et de jeunes, de ces jeunes qui étudient le français, eheheh, iront aussi le voir... Humour et légèreté, dans une ambiance parisienne: parfait pour passer un bon moment!

Pas convaincu(e)???

Voici donc la bande-annonce:

L'histoire du film:

Rémy est un jeune rat qui rêve de devenir un grand chef français. Ni l'opposition de sa famille, ni le fait d'être un rongeur dans une profession qui les déteste ne le démotivent. Rémy est prêt à tout pour vivre sa passion de la cuisine... et le fait d'habiter dans les égouts du restaurant de la star des fourneaux, Auguste Gusteau, va lui en donner l'occasion! Malgré le danger et les pièges, la tentation est grande de s'aventurer dans cet univers interdit. Écartelé entre son rêve et sa condition, Rémy va découvrir le vrai sens de l'aventure, de l'amitié, de la famille... et comprendre qu'il doit trouver le courage d'être ce qu'il est: un rat qui veut être un grand chef...

En ce qui concerne la bande sonore, c'est la chanteuse Camille qui interprète la chanson «Le festin». Écoutez-la, «regardez-la» ici... avec les paroles...

Paroles:

Les rêves des amoureux sont comme le bon vin

Ils donnent de la joie ou bien du chagrin

Affaibli par la faim je suis malheureux

Volant en chemin tout ce que je peux

Car rien n'est gratuit dans la vie...

L'espoir est un plat bien trop vite consommé

À sauter les repas je suis habitué
Un voleur, solitaire, est triste à nourrir
Un enjeu si amer, je veux réussir

Car rien n'est gratuit dans la vie...

Jamais on ne me dira que la course aux étoiles

Ça n'est pas pour moi
Laissez-moi vous émerveiller et prendre mon envol
Nous allons enfin nous réga...ler
La fête va enfin commencer
Et sortez les bouteilles, finis les ennuis
Je dresse la table, demain nouvelle vie

Je suis heureux à l'idée de ce nouveau destin

Une vie à me cacher, et puis libre enfin!
Le festin est sur mon chemin...

Cliquez sur l'image ci-dessous pour accéder au site officiel du film.

Mais, au fait, qu'est-ce que la ratatouille...?
La ratatouille est une spécialité niçoise. Comme toute recette "générique" il n'y a pas de recette précise mais des principes à respecter. Pour la ratatouille deux méthodes sont possibles: cuisson de tous les légumes ensembles ou première cuisson légume par légume.

Voici la recette selon la première méthode:

Ingrédients
Pour 4 personnes :
3 aubergines dégorgées au sel
2 courgettes
2 poivrons (de préférence de couleurs différentes)
400 g de tomates pelées et épépinées
2 gousses d'ail
3 oignons blancs de taille moyenne ou 1 gros
2 à 3 cuillères à soupe d'huile d'olive à chaque cuisson de légume
sel, laurier, thym, romarin.

Préparation

- Coupez les aubergines en petits morceaux (à peu près 2 cm de côté)
- Faites revenir les aubergines dégorgées, que vous aurez rincées, dans l'huile.
- Recommencez les mêmes opérations avec les courgettes (ne pas réutiliser l'huile des aubergines).
- Pendant ce temps, faites fondre les oignons dans un peu d'huile d'olive en les remuant. Quand ils seront devenus transparents (dix minutes), ajoutez vos poivrons en lamelles et laissez fondre un peu.
- Ajoutez maintenant les courgettes et les aubergines, puis les tomates en quartiers.
- Goûtez et rectifiez l'assaisonnement en sel et poivre.
- Mettez une feuille de laurier et une branche de thym, une ou deux gousses d'ail avec la peau. Si vous la faites cuire au début avec l'oignon, elle perdra son goût (La gousse d'ail prend tout son goût si, en la laissant entière, on l'écrase légèrement avec la paume de la main une fois son enveloppe retirée).
- L'aubergine peut être juste salée après avoir été tranchée. Elle rendra son amertume et deviendra digeste: pour cela, coupez-la en deux dans le sens de la longueur puis mettez-la à dégorger en tranches fines dans une jatte avec une bonne pincée de sel fin.

Tout ceci doit se faire à feu relativement vif pour que vos légumes gardent leur jus, et qu'ils aient une consistance.
Ensuite baissez le feu et laissez cuire 20 minutes.

Dans Paris, à vélo... ça marche!

Ça a commencé il y a un mois!

Plus de 1,5 million d'usagers ont déjà enfourché l'un des 10 600 vélos en libre-service disséminés dans les 750 stations réparties aux quatre coins de la capitale. Les vélos, facilement reconnaissables avec leur garde-boue gris souris et leur panier métallique planté à l'avant, parcourent chaque jour presque 160 000 kilomètres, soit quatre fois le tour de la Terre!

«C'est une montée en puissance impressionnante. Lorsque le système sera à pleine mesure avec les 20 000 machines installées d'ici au 31 décembre dans 1 451 stations, la distance avalée par les cycles sera quadruplée», souligne Rémi Pheulpin, directeur général en charge des opérations chez JCDecaux.

De la Bastille à l'Hôtel de Ville en passant par les Champs-Élysées ou le Châtelet, les adeptes sont de plus en plus nombreux. On compte aujourd'hui, près de 50 000 abonnés longue durée. «C'est la carte orange pour 29 euros par an, c'est bien moins cher que les transports en commun», s'enthousiasme Gaël qui a dit «adieu» au bus, métros et autres tramways.
Le succès est donc au rendez-vous. On observe même une nouvelle forme de dépendance, certains ménages s'étant séparés de leur voiture.

Reste que les accros sont devenus exigeants. Très exigeants. À l'affût du moindre petit détail qui pourrait améliorer leurs conditions de circulation et leur confort. «C'est dommage qu'il n'y ait pas de rétroviseur, du coup on est souvent obligés de se retourner pour vérifier que l'on ne risque rien. Par ailleurs, il serait plus ludique que l'on dote les bicyclettes d'un compteur qui nous renseignerait sur la vitesse à laquelle on roule, la distance que l'on a effectuée...» fait remarquer Jean-Michel qui se sert de Vélib' dès qu'il en a l'occasion. «Ça serait bien si les vélos étaient moins lourds (ils pèsent 22 kg)», ajoute de son côté Véronique.

Accidents de parcours
Stations désespérément vides ou souffrant d'un trop-plein chronique, bornes ne fonctionnant pas à chaque coup, bugs se répétant plusieurs fois de suite au moment de retirer l'engin... Vélib' déraille aussi parfois. «Environ 5 % des points d'attache ont rencontré des problèmes informatiques ne permettant pas de mettre un terme à la location pour les trajets de moins de 30 minutes. Les clients dont le compte a été débité de leur caution de 150 euros seront remboursés dans les meilleures délais», assure-t-on à la mairie de Paris. Loin de gagner du temps, des usagers perdent également de précieuses minutes pour trouver une place où remettre leur vélo. Sans compter les petits futés qui ont posé un cadenas sur «leur» Vélib'.

Autre bémol: les risques d'accident des cyclistes d'occasion ne portant pas de casques ou encore le fait que le système, censé être adapté aux petits revenus, est quasiment inutilisable pour... les interdits bancaires.
Autre face immergée de l'iceberg: JCDecaux doit faire face à des vols et à des détériorations à répétition. Depuis leur arrivée, plus de 100 Vélib' ont été dérobés et 200, détruits. 100 à 150 sont déposés quotidiennement dans les ateliers de maintenance en raison de roues volées, de fourches pliées, de jantes brisées ou de cadres tordus.
Malgré tout, Decaux semble avoir remporté son pari. En un mois, un record en la matière, il a fait pousser en plein air «la plus grande salle de sport du monde à ciel ouvert». Un tour de force qui a mis des bâtons dans les roues des loueurs de vélo qui ont vu chuter leurs chiffres d'affaires jusqu'à 20 %... Et qui a entraîné une diminution du nombre de courses pour les chauffeurs de taxi.

Adapté de l'article paru aujourd'hui sur lefigaro.fr

Ainsi, à Paris, on roule bien... à deux roues. Et on respire forcément beaucoup mieux.

Finalement, c'est aussi un excellent moyen pour les touristes de visiter la ville... d'un bout à l'autre!

Un site a même été créé, indiquant toutes les stations vélib' à Paris. Cliquez sur le logo pour y accéder.

«Je ne vais pas attendre 107 ans!»

Vous l’aviez pourtant appris par coeur ce théorème de Pythagore. Et vous voilà planté devant le tableau noir, fixant la pointe de vos chaussures, vous balançant de droite à gauche. Aucun mot de sort de votre bouche.

Toute la classe vous regarde et bien sûr personne ne vous aide. Le prof vous prévient alors pour la dernière fois:

"Bon, ça vient? Je ne vais pas attendre 107 ans!"

Vous êtes sur le point de lui répondre: "Par contre, monsieur, je peux vous dire l’origine de cette expression. Selon certains historiens, la construction de la cathédrale Notre Dame de Paris aurait pris 107 ans, une véritable éternité. Ce chantier permanent irrita les Parisiens et c’est ainsi que la formule est encore utilisée de nos jours".

Vous avez toujours été meilleur en Histoire qu’en Mathématiques. Résultat: vous retournez à votre place et vous avez zéro.

Présenté par Thomas BOSC, professeur à l'AF

(Alliance française, au Chili)

Avec le soutien du petitjournal.com

En vacances... à Paris?

Il fait beau, il fait chaud; c'est l'été, le temps des vacances...

À Paris? Quel Délice!! La ville lumière se visite à pied...

Alors, de temps en temps, on a bien envie d'une pause dans une de ces magnifiques terrasses que l'on trouve un peu partout dans la capitale.

En voici quelques-unes...

Située dans le jardin des Tuileries, la terrasse du Musée des Arts déco est ouverte tout l'été, à partir du déjeuner jusqu'à 2h du matin. La vue sur la Tour Eiffel lui donne un atout de plus.

En plein quartier latin, face au jardin des plantes, c'est au Café de la mosquée de Paris que l'on peut déguster un thé à la menthe, à l'ombre des belles arcades mauresques...

Dans le VIIème arrondissement, au premier étage de la Grande Épicerie du Bon Marché, la terrasse du Délicabar présente un mobilier moderne, acidulé. Ses trois produits stars: les fruits, les légumes et le chocolat!

Très récente, la terrasse du restaurant du Petit Palais a déjà un grand succès. Une belle pause à l'abri du soleil...

Sur les berges du canal Saint-Martin, côté quai de Valmy, on trouve la terrasse du Point Éphémère, bien connue des amateurs d'art urbain et de musique. Au bord de l'eau, sur cette terrasse ensoleillée, on peut y manger à petits prix.

Au pied de la Cinémathèque Française, "le 51" donne sur les jardins de Bercy. Une terrasse qui attirera certainement les cinéphiles...

Dans le XIVème, l'été, le café de l'Entrepôt ouvre son jardin aux clients, jardin zen au mobilier de bambou où l'on peut déguster une cuisine simple et savoureuse après une séance de ciné ou un concert live.

La terrasse du Palais de Tokyo est devenue une institution: petits pris et vue imprenable sur la Tour Eiffel.

La terrasse de l'été en pente douce est installée sur les flancs de Montmartre, à deux pas des jardins du Sacré-Coeur: une bonne pause au milieu de l'ascension de la Butte!

Face aux dernières vignes de Belleville, "la mer à boire" dispose d'un grande terrasse pavée avec l'une des plus belles vues sur Paris. Toute l'année, on y organise des expositions sur le thème de la bande dessinée, mais aussi des bals et des débats.

(Pour plus d'informations, consultez le site de linternaute.)