En qualifiant de ’désert’ ce territoire, Guilhem faisait allusion à l’absence de l’homme et non de la végétation. Après avoir franchi les gorges de l’Hérault, Il décida de s’établir sur les bords du ’Verdus’, au cœur d’une Nature faite de roches rudes et d’eau pure. Trouvant ici son salut pour se ressourcer spirituellement, il fît de cette combe un haut lieu spirituel, un sanctuaire.
Ce site dissimulé dans un massif rocheux imposant a aujourd’hui une renommée mondiale.
Au cours des 12 siècles qui suivirent l’arrivée de Guilhem, les activités humaines se multiplièrent. Avec patience, les habitants du val de Gellone domestiquèrent les flancs du cirque de l’Infernet. Ils ouvrirent des voies pour accéder aux monts de Saint-Guilhem-le-Désert. L’élevage, l’agriculture, l’utilisation du bois firent régresser la forêt et naître la garrigue typique des zones méditerranéennes.
Les ’garrigues’ du pays de Saint-Guilhem-le-Désert, constituées de formations végétales diverses, recèlent une faune et une flore d’une diversité exceptionnelle. Certains de ces joyaux sont rares et fragiles, tels que les Pins de Salzmann.
Aujourd’hui, les richesses patrimoniales du site, tant naturelles que culturelles, attirent chaque année un flot important de visiteurs. Résidents, pèlerins, visiteurs cheminent ensemble dans les paysages de Saint-Guilhem-le-Désert.
Les ’garrigues’ du pays de Saint-Guilhem-le-Désert, constituées de formations végétales diverses, recèlent une faune et une flore d’une diversité exceptionnelle. Certains de ces joyaux sont rares et fragiles, tels que les Pins de Salzmann.
Aujourd’hui, les richesses patrimoniales du site, tant naturelles que culturelles, attirent chaque année un flot important de visiteurs. Résidents, pèlerins, visiteurs cheminent ensemble dans les paysages de Saint-Guilhem-le-Désert.
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