Le 27 janvier a été désigné par l'ONU comme Journée Internationale à la mémoire des victimes de la Shoah. Cette date correspond à l'anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz par les troupes russes le 27 janvier 1945.
Dans de nombreuses villes de France sont organisées des commémorations.
«Ne faisons pas du 27 janvier un contresens: les souffrances des déportés ont été terribles bien au-delà de cette date» a déclaré Simone Veil, présidente de la Fondation pour la 
Mémoire de la Shoah, à l’occasion de la Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l’Holocauste. En effet, quand le 27 janvier 1945, les soldats de l’armée rouge sont entrés dans le camp d’Auschwitz-Birkenau, ils n’ont trouvé qu’une poignée de mourants; le camp avait été évacué dès le 18 janvier par les nazis, qui ont forcé les déportés survivants à marcher plus de 70 km à pied, dans le froid et la neige, au cours de ce qui a été appelé « les marches de la mort».
Mémoire de la Shoah, à l’occasion de la Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l’Holocauste. En effet, quand le 27 janvier 1945, les soldats de l’armée rouge sont entrés dans le camp d’Auschwitz-Birkenau, ils n’ont trouvé qu’une poignée de mourants; le camp avait été évacué dès le 18 janvier par les nazis, qui ont forcé les déportés survivants à marcher plus de 70 km à pied, dans le froid et la neige, au cours de ce qui a été appelé « les marches de la mort».Simone Veil a évoqué le camp de Dora, et celui de Bergen-Belsen, dans lequel les gens mourraient jusqu’en avril 1945 de faim, de soif et du typhus, comme sa mère, à laquelle elle a rendu un hommage pudique. « Beaucoup d’entre nous sont morts, alors qu’ils auraient pu ne pas mourir... »
